Problématiques :
- Limiter les risques de vulnérabilité externe (contrôle des accès, anti intrusion, télésurveillance)
- Réduire les réclamations client pour motifs de sûreté et les actes de malveillance internes (vidéosurveillance)
- Protéger les personnes d’agressions externes
- Sécuriser les produits et les bâtiments
- Renforcer la confiance des clients
- Pérenniser le CA de l’entreprise
Les difficultés à lever :
- Sites pas ou sous équipés
- Métier de la sûreté à ses débuts – pas ou peu d’expérience
- Contraintes budgétaires fortes
- Problématique peu suivie par l’équipe dirigeante (non prioritaire) et quasiment pas par les salariés
- Nombreuses procédures non sécurisées
- Environnement technique pointu et évolutif
Ce qui a été mis en œuvre :
- Audit des installations de sûreté existantes ou à créer, audit des besoins (standards et personnalisés)
- Évaluation règlementaire – Sollicitation d’expertise externe (forces de l’ordre – justice – Préfecture)
- Rédaction de cahiers des charges
- Mise en concurrence des fournisseurs (Intégrateurs sûreté, sociétés de gardiennage et de télésurveillance, sociétés intervenant sur le bâtiment, artisans divers)
- Évaluation des devis avec Direction des Achats et Direction Technique
- Suivi des travaux et recette fonctionnelle des chantiers
- Suivi budgétaire
- Évaluation des fournisseurs au travers des prestations
- Implication des partenaires : service Opérationnel Sûreté, Préfecture, Direction de la sûreté et Direction Technique, Filiale du groupe
Le Bilan :
- Intégralité des sites sécurisés
- Amélioration des pratiques « métier » (sécurisation du traitement des objets)
- Augmentation du taux de réussite des enquêtes de + 50%
- Diminution du nombre de réclamations client de -30%